Le chant du berger

Près des cimes altières
En gardant son troupeau
Il écoute l’eau claire
Chanter dans les ruisseaux.
Le chant de cette eau claire
Qui s’enfuit vers l’Adour,
Le berger solitaire
L’écoute avec amour.

Là-haut quand Mai sourit et que l’aurore
Se penchant sur les fleurs les fait éclore
Le berger pense souvent que dans la plaine
L’attend avec amour celle qu’il aime.

Jeannette, ma Jeannette, bientôt je reviendrai,
Et c’est au bel automne que je t’épouserai, YA
O gentille Naneto, ba cabé pla dansa
Aou temps de las colchiquos qué nous ban marida, YA
La, la, la qué nous ban marida.
O berote floureto que nous ban marida
La, la , la e qué ban pla dansa
Aou pè de las mountagnos dou païs tant aymat.

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