La bergère


C’était une bergère,
En gardant son troupeau
En gardant son troupeau et à l’ombrage,
Chantait des airs nouveaux, rien d’aussi beau.

Se présente un gentilhomme
De soixante-dix ans
Vient demander secours à la bergère,
Vient demander secours à ses amours

La bergère rusée riant de ses discours
Et qu’il lui dit monsieur
Qu’il faut attendre,
Le retour du printemps en peu de temps.

Bergère tu refuses ton bonheur à présent,
Ton bonheur à présent
Et ta fortune,
Laisse la ton troupeau, viens au château.

Monsieur toutes vos richesses,
Ne charment point mon cœur,
Votre barbe grisonne qui m’étonne.
J’aimerais mieux un berger, fait à mon gré.

Monsieur toute ma richesse
Vient d’un jeune berger
Qui garde ses moutons, dans la montagne
Qui garde ses moutons, sur ses vallons.

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